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Moira Yaxley

Moira Yaxley

Humaniste

Nom complet : Moira Damaris Yaxley

Naissance : 12 janvier 1919

Statut de sang : Sang-pur

Nationalité : Anglaise

Origines : Irlandaises

Occupation : Magistrate au Magenmagot

Patronus : Une belette

Boggart : Azkaban

Amortentia : L’odeur du vin rouge, de la fleur de lys et du rouge à lèvres

Divers : Humaniste, ancienne Serdaigle et mère d’une petite fille née en 1944

Faceclaim : Jona Gudmundsdóttir


« Sometimes a devil looks like an angel. »

Non jouée

Biographie

Moira Yaxley, un esprit affûté et des yeux qui transpercent. Aînée de la fratrie, ce sont sur ses épaules qu'ont toujours reposé les attentes familiales comprenant, entre autres, l'assurance de la continuité d'un prestige conféré par cette pureté du sang, à laquelle ses parents ont toujours été très attachés. Cette manière de penser, Moira n'y a pas échappé. Elle est aussi consciente de son statut de privilégiée, et n'a pas de temps pour éprouver de la pitié envers ceux qui lui sont inférieurs. Elle ne fait jamais dans la fausse modestie ; elle est consciente de son esprit brillant, de cet intellect qui a pris toute la place lorsqu'elle s'est retrouvée sous le Choixpeau et s'est vue envoyer à Serdaigle malgré son côté incroyablement vipérin. A Poudlard, elle s'impose comme la peste de service, celle qui a toujours réponse à tout et qu'il est préférable d'avoir dans ses bonnes grâces. Ses amis, elle les compte sur les doigts d'une main. La plupart de ses connaissances ne sont qu'alliances purement stratégiques, nécessaires pour s'assurer une place dans cette société élitiste bien ancrée dans des traditions qu'elle connait sur le bout des doigts, mais ne respecte uniquement que dans la sphère publique.

Ainsi, à la manière de ce que fera sa benjamine des années plus tard, Moira accepte ses fiançailles sans rechigner – mais sans mettre un terme à sa liaison avec Edmund Rosier. La différence entre elle et Céleste, c'est que son fiancé, un héritier Bulstrode, n'a jamais su que Moira allait voir ailleurs. Ainsi, lorsqu'il se fait arrêter et enfermer à Azkaban quelques semaines avant leur mariage, suite à ses crimes commis pour le compte de Grindelwald qu'ils servent tous les deux, il est persuadé que l'enfant de Moira est le sien. Et c'est ce que la jeune femme fait croire autour d'elle, allant même jusqu'à cacher la vérité au père biologique, Edmund, qui ignore que Rhea est en réalité sa fille. Cette situation de mère célibataire avec un fiancé derrière les barreaux aurait pu énormément atteindre sa réputation, alors il est hors de question de révéler la véritable identité de Rhea à qui que ce soit, par crainte d'être reniée ou montrée du doigt. Incroyablement fière et bien trop orgueilleuse, Moira ne laissera jamais une telle chose se produire. Elle a déjà dû subir une première fois la foudre de son père, lorsqu'elle s'est mise à étudier pour entamer une carrière de magistrate au ministère, et n'a pas envie que cela recommence. Dans une société où les hommes dominent, dans un cercle aristocrate où la femme est faite pour rester boire le thé avec les autres épouses de bonnes familles, le patriarche Yaxley était d'abord plutôt réticent face à l'ascension de sa fille aînée, qui a très tôt su se démarquer par son travail acharné et rigoureux.

Liens

— Ambiguïté et attirance envers Edmund Rosier : Moira et Edmund, c'est le feu et la glace, une tempête à eux deux que nul n'est en mesure de canaliser. Tout commença lorsque les deux sorciers ont rejoint Poudlard, où une relation de chien et chat s'établit entre eux. Voilà que l'un cherchait perpétuellement à repousser les limites de l'autre, au point même d'en arriver à un jeu malsain qui s'étendit sur plusieurs années : une haine qui se développa en amour, ou plutôt en ambiguïté défendue. Leur relation était donc accentuée par des hauts et des bas, tandis que les conflits ne cessaient de s'accumuler et que l'interdit prit plus d'ampleur et de signification, le fait que Moira soit promis à un autre étant la preuve formelle. Seulement, cela ne sembla tout de même pas raisonner les deux "amants" qui eurent une aventure qui résulta en un bâtard dissimulé aux yeux de tous. Moira avait fini par donner vie à un héritier Rosier, si bien caché du monde au point même qu'Edmund n'est lui-même pas en mesure de soupçonner que l'enfant est le sien.


— Sœur ainée de Céleste Yaxley : neuf ans séparent les deux sœurs et cela se ressent dans la relation parfois bancale qu'elles partagent. Si les jeunes femmes se ressemblent et s'accordent sur certains points, dans ces natures impétueuses et sûres d'elles, Moira est infiniment plus malsaine que Céleste, dont le cœur est beaucoup plus gros, plus indulgent. L'aînée la trouve d'ailleurs trop naïve et idéaliste, et aimerait bien qu'elle se conforme davantage au rang auquel elle appartient.


— Amie d'Hosea Dolohov : elle est sa plus fidèle alliée. Son tempérament rigide, militaire, similaire au sien, fait d'elle l'une des rares personnes à qui Hosea a accordé sa confiance. Et inversement, puisqu'elle l'a mis au courant de son incartade avec Edmund Rosier, et le terrible secret lié à sa fille. Un scandale caché qui est loin de l'enchanter, mais qu'il garde précieusement sous scellé pour éviter les répercussions.


— Ancienne camarade de classe de Tiberius Flint : même année, différente maison. Leurs chemins se sont souvent croisés jusqu'à ce que les deux ne développent une légère amitié, une bonne entente qui a très vite coupée court lorsque Moira a découvert l'existence de son petit club sélectif et uniquement masculin. Jalouse, la jeune fille lui en a voulu d'exclure les membres de la gent féminine et, encore aujourd'hui, l'entente entre les deux est en dents de scie.

(Tiberius a été assassiné le 19 novembre 1928, jour de l'embuscade des Sceptiques au QG des Humanistes).

— Proximité avec Atticus Weasley : Atticus n'aime pas parler, mais avec Moira c'est différent. Peut-être parce qu'elle sait occuper son esprit grâce à sa culture et à son intelligence. Bien qu'il soit difficile pour lui d'apposer sur leur relation le mot amitié, n'ayant jamais eu le moindre ami dans le passé, il l'apprécie. Moira et Atticus n'ont de cesse de se perdre à travers des discussions bien trop longues. Chez Atticus, la rousse a découvert une potentielle recrue pour les humanistes et n'a de cesser de lui vanter les mérites de cette organisation.


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