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Minerva Whitemore

Minerva Whitemore

Humaniste

Nom complet : Minerva Lais Whitemore

Naissance : 17 avril 1930

Statut de sang : sang-mêlé

Nationalité : anglaise

Origines : portugaises, brésiliennes

Occupation : A VOIR (cpm justice et politiques, spé relation internationales)

Patronus : un caméléon

Boggart : le feu

Amortentia : l'odeur du beurre fondu, de l'orage et du thé noir

Divers : membre des Humanistes

Faceclaim : Maddux Calaway

« And perhaps it is the greater grief, after all, to be left on earth when another is gone. »

Non jouée

Biographie

Comme beaucoup de livres, cette histoire débute avec un amour à la hauteur des contes de fées. Elle commence suite à la relation d'un anglo-portugais venu en vacances et une brésilienne à la recherche d'étoiles à mettre dans ses yeux ternes. Deux amants qui se sont perdus, oubliant pendant quelques mois la difficulté du monde extérieur ; mais ceci a bien vite pris fin. Non pas que leur histoire se soit terminée, mais la grossesse rapide de la jeune femme pousse l'homme à rester. Coincé dans une idylle loin de son pays d'origine. Sans méprise, il le fait avec plaisir, mais garde en lui l'idée qu'il aurait pu rêver de mieux. Mieux qu'une petite maison délabrée, à chercher le moindre petit boulot pour avoir de quoi manger. C'est à deux qu'ils ont fini par trouver un travail dans des mines à proximité, et c'est à deux qu'ils ont creusé dans la roche à la recherche de quelques pierres magiques qui leur rapporteront de misérables pièces. C'est aussi à deux qu'ils ont terminé, ensevelis sous des tonnes de roches suite à l'effondrement de leur mine. Âgée de seulement 8 ans, la petite fille, habituée à courir entre les rues délabrées d'un petit village, se retrouve projetée dans la campagne anglaise en compagnie d'un grand père paternel fermier qu'elle n'a jamais connu. Bien vite, elle comprend que de lui elle ne tirera ni câlin, ni mots d'amour, ni rien pour l'aider à grandir entourée d'amour et de chaleur. Pourtant, elle ne peut pas s'en plaindre, elle ne peut pas critiquer sa brutalité ou sa froideur, n'ayant que peu le temps de le voir. Il part avant que le soleil ne se lève et rentre une fois que ce dernier a fait disparaître le moindre de ses rayons. C'est qu'il travaille dur pour pouvoir entretenir sa ferme ou simplement pour oublier qu'il ne reverra plus jamais son fils, dernier souvenir de sa femme bien aimé. La fille sociale se renferme, elle ne devient aventurière que dans ses rêves et les histoires qu'elle se conte en parcourant les bois aux alentours. Lorsqu'elle croise son grand père, c'est pour qu'il lui raconte ce qui se passe autour d'eux, pour qu'il lui parle des moldus qui empiètent sur leur territoire. De ces satanés moldus qui vivent mieux qu'eux. Il évoque les idées d'un Grindelwald, dont le nom sonne comme celui des méchants de livres que sa mère pouvait lui lire, et ces idées, elles arrivent pourtant à pénétrer l'esprit enfantin de Minerva. En effet, pourquoi les moldus auraient-ils le droit d'avoir une vie rêvée quand elle a toujours dû avoir les mains dans la boue ? Petit à petit c'est de la haine qui envahit le coeur chaleureux de la brune et remplace les rires qu'elle a partagé lorsqu'elle vivait dans son village. Mais ça, elle ne peut plus y penser. Son entrée à Poudlard rime avec rejet. Qui veut être ami avec une personne comme elle, dont l'accent transparait à travers le moindre de ses mots et qui ne sait pas s'exprimer avec un langage soutenu ? Seule durant ses premières années, sa vie est rythmée par le travail avec son grand père lorsqu'elle rentre et les idées de Grindelwald qui envahissent son esprit.

Et puis il y a Ethel, la fille Vaisey qui agit comme n'importe quel autre être humain. Tout du moins c'est ce que la blonde dit, pour Minerva, elle agit comme un être étrange qui ne marche pas mais glisse, dont les attitudes semblent toutes sublimer son visage angélique. Est-ce de la jalousie ou de l'envie ? Qu'en sait-elle, si ce n'est que quand Ethel vient lui parler, pour Minerva le monde a changé. Terminée la fille seule, maintenant elle a une alliée et peut se vanter de marcher dans les couloirs avec celle qu'on admire et dont le rejet ne fait qu'éveiller, en elle, une envie de rire. C'est cette présence qui lui fait comprendre qu'évoquer son attachement aux idées de Grindelwald est une terrible idée dans ce monde où tout n'est qu'apparence, alors elle se tait. Elle méprise les nés moldus qu'elle peut croiser, souhaite la mort de toute leur lignée mais apprend à leur sourire. Seule, elle devient maître dans le don de cacher ses pensées, pour s'en sortir, il faut agir comme Ethel et comme toutes les personnes qu'elle peut croiser. Loup dans la bergerie, elle parvient même à intégrer les médiateurs et les écoutent déblatérer leurs stratagèmes contre ceux qui ont eu le courage de soutenir le dieu tombé et dans le fond, elle se plaît à les imaginer payer pour leur trahison.

Mais pas maintenant. Dans le coeur de Minerva, c'est un feu qui brûle, un étrange contraste entre les apparences et ses pensées, si bien qu'elle même peine à savoir qui elle est. Tout ce qu'elle sait, c'est qu'elle doit tout faire pour ne plus être rejetée et qu'il est hors de question qu'elle termine sa vie comme elle l'a commencée. Et pour ça, elle cherche une solution, une idée pour mêler ce qu'elle veut et ce qu'elle pense, cette solution ce sont les Humanistes qui lui glissent entre les doigts. Pour eux, elle continuera à espionner, à se perdre dans ses faux sourires et si ces derniers commencent à dévoiler une quelconque vérité, c'est simplement parce qu'elle a enfin trouvé une bonne raison d'exister.

Liens

— Amie d'Ethel Vaisey ; Pourquoi elles se sont trouvées, elles que tout sépare ? Elles n'en ont pas la moindre idée. Coup du destin, ou simplement envie d'Ethel de faire le bien. Mais quand la blonde est venue parler à Minerva, la vie de cette dernière a changé. A deux, elles refont souvent le monde, bien qu'Ethel soit celle qui parle le plus, Minerva se contentant d'acquiescer à ses idées. C'est que la blonde révolutionnaire est douée pour s'exprimer.


— Méprise Tassia Clapcott ; Est-ce parce qu'elle est habituée à être en compagnie de fanatiques de Grindelwald que Tassia n'a pas supporté la présence de Minerva, à peine cette dernière ayant franchit les portes de la pièce ? C'est qu'elle le sent que chez cette silencieuse, il y a un serpent qui siffle et qu'importe ce que peuvent dire les autres. Très vite entre les deux se lance une guerre silencieuse et un combat fait rage. Leurs armes ne sont que des insinuations mais chez les brunes un concours s'est lancé, à la première qui fera partir l'autre des médiateurs.


— Membre des médiateurs à Poudlard ; Si Minerva a rejoint le groupuscule ce n'est pas par conviction, mais grâce à l'insistance d'Ethel. Loup dans la bergerie, elle écoute leurs idées et s'en abreuve pour imaginer une façon de les détruire. Si seulement elle en avait le courage.

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