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Ezebeth Petterson

Ezebeth Petterson

Neutre

Nom complet : Ezebeth Doria Petterson

Naissance : 30 décembre 1920

Statut de sang : sang-mêlé

Nationalité : britannique

Origines : /

Occupation : rédactrice à la gazette du sorcier

Patronus : un cygne

Boggart : sa propre image disparaissant

Amortentia : la rosée du matin, la confiture à l'orange et le safran

Divers : /

Faceclaim : Ginta Lapina

« I'm open like a wound, raw and tender. »

Non jouée

Biographie

Ezebeth est née dans la campagne anglaise dans un cadre assez particulier, puisque son père n'est autre que Harald Petterson. Ce nom ne vous dit rien ? La chose est peu étonnante, car seules les âmes férues de créatures magiques pouvaient se targuer d'en connaître l'identité. La famille Petterson est en effet connue dans le milieu sorcier pour être les possesseurs du plus grand élevage de Sombrals du continent, fournissant Poudlard, ainsi que quelques agriculteurs sorciers, ou même certains services particuliers de la Poste Magique en créatures. Drôle d'héritage que celui des Petterson, puisque l'élevage ne pourrait être transmis au prochain descendant tant que celui-ci n'aurait pas vu la Mort lui-même – ce qui en venait à lui souhaiter paradoxalement une certaine souffrance pour accéder à son dû.

Ezebeth a donc passé son enfance à observer son père prendre soin de bestiaux qu'elles ne voyait pas, à choyer l'invisible, à caresser l'inexistant – quitte à parfois en délaisser son enfant. Bien qu'elle sache parfaitement que des dizaines et dizaines de créatures se cachaient derrière ce camouflage qui l'empêchait de les voir, la fillette n'a jamais su se débarrasser de l'idée insupportable que l'attention de Harald lui avait été ravie face à une immensité de Rien, un océan de Néant. C'est donc une mioche peu confiante qui entra à Poudlard au début de son adolescence, un bout de fille bornée et sûrement trop pragmatique qui refusait systématiquement de croire ce qu'elle ne pouvait voir. Rien à faire, lorsque vous lui racontiez une histoire ; il lui fallait obtenir des preuves, des éléments tangibles – ce qui n'était pas toujours possible. L'esprit intransigeant et très exigeant d'Ezebeth lui attirèrent malgré tout la sympathie de ses professeurs, qui encouragèrent tout au long de sa scolarité son esprit d'analyse. Peu douée en travaux pratiques, en potions ou en botanique, elle se tourna entièrement vers les matières plus théoriques, notamment à l'aide de ses qualités rédactionnelles. Mais c'est son esprit aventurier, qui la conduit aux portes de la Gazette du Sorcier, à sa sortie de Poudlard ; car Ezebeth voulait amasser les vérités, découvrir, les collecter et les porter fièrement comme collier. Rapidement, la sorcière se fit une petite réputation au sein de la Rédaction par la précision de ses enquêtes, et cet acharnement qu'elle avait toujours à aller au fond de chacune ; car sachez que la jeune Petterson est comme un chien affamé avec un os, et que si elle s'emparait d'une information, elle était incapable de la lâcher.

Aujourd'hui, Ezebeth est ce genre de sorcière au contrôle parfait sur sa vie, peu intéressée par les relations sociales, et obsédée par le travail ; elle ne paraitra jamais froide si vous vous adressez à elle, seulement absorbée par autre chose, par une autre de ses pensées. Distante. Récemment, on dit qu'elle s'intéresse de près aux ravages dûs à l'apparition d'une drogue sorcière, en Angleterre – le Desparatium, a t-elle entendu. Mais sûrement n'a t-elle pas réellement idée de la dangerosité du trafic dans lequel elle met les pieds.

Liens

— méfiance envers Kaleb O'Geery ; Les soupçons d'Ezebeth pour son collègue ont commencé le jour où l'une de ses feuilles de notes à propos de son enquête sur le Desparatium a mystérieusement disparu de son bureau, un soir. Or, elle se rappelait très nettement que Kaleb était le seul individu à être resté plus tard qu'elle dans les locaux de la Gazette du Sorcier, et bien que le comportement nonchalant de ce dernier pourrait rapidement écarter la moindre suspicions, Ezebeth a toujours appris à ne jamais croire quoi que ce soit sans preuves. Depuis, elle surveille donc le jeune homme, à l'affut du moindre pas de travers qui pourrait corréler avec la méfiance qui est la sienne.


— objet de jeu de Ozan Burke ; C'est au Chaudron Baveur, qu'Ozan a aperçu Ezebeth pour la première fois. Attiré par la beauté particulière de la jeune journaliste, il décida de jouer un jeu avec elle, un jeu dont il serait le seul maître – à son insu. Se servant du polynectar dont il usait déjà quotidiennement, il se présenta à elle successivement sous trois apparences différentes, selon trois noms différents, dans le but dérangé de prendre toute place dans sa vie. Il est tour à tour Hiram, Klaus, et James. À Hiram le confident, elle parle de Klaus qui l'attire, et à Klaus, elle parle de James qui la fait tant rire. Un jeu malsain qui divertit Ozan si efficacement qu'il n'a pas l'intention d'y mettre fin de sitôt.

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