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Alyda Gewald

Alyda Gewald

Aube Noire

Nom complet : Alyda Ansolet Gewald

Naissance : 4 septembre 1928

Statut de sang : sang-mêlé

Nationalité : anglaise

Origines : /

Occupation : briseuse de sortilèges à Gringotts

Patronus : une chouette hulotte

Boggart : les araignées

Amortentia : l'odeur du parchemin, de l'herbe et de l'orage

Divers : membre de l'Aube Noire

Faceclaim : Liza Karol

« The water hears and understands. The ice does not forgive. »

Non jouée

Biographie

« L'iceberg », voilà ce qui définirait le mieux Alyda Gewald. Ayant grandi dans un milieu modeste, elle a toujours méprisé le manque de volonté et de détermination de ses parents. C'est simple, elle veut le monde entre ses doigts quand eux semblent satisfaits de sentir s'y glisser les miettes que l'on veut bien leur accorder. Ne vous méprenez pas, elle n'a jamais manqué de quoi que ce soit, mais elle a toujours eu la frustration de devoir manger sur le bout des doigts à la moindre dépense un peu trop importante. Pour elle, le monde est faible et les gens sont fous de se laisser diriger par des puissants sans cervelle. De la pitié ? Jamais. Elle sera bientôt à leur place et manipulera les foules telles de minuscules fourmis se plaisant à monter son univers parfait. Elle se sait intelligente et en joue bien souvent, se moquant des plus faibles qui n'ont pas le même désir de travailler ou de réussir dans leur futur métier. Compétitrice, la blonde déteste l'idée que l'on puisse la surpasser, un être plus intelligent est une menace pour son futur, elle le sait, les places sont rares au sommet de la pyramide et elle veut en être l'apogée. Oui, Alyda est une serdaigle exemplaire. Après tout, son obsession de la perfection la pousse à l'être. Est-ce que ses envies futures sont réalisables ? Etrangement, sa volonté entre constamment en opposition avec son pessimiste. Pour elle, le monde est déjà foutu, d'où son envie de réussir au plus vite pour mourir en surpassant les autres.

Tout en Alyda démontre une absence de sentiments, d'émotions, de joie ou de souffrance ; pourtant, elle est certainement celle qui ressent le plus. C'est simple, la jeune femme éprouve tout. Un moindre effleurement et son empathie la pousse à devoir affronter ce que ses camarades endurent. Elle qui n'a jamais connu l'amour a pourtant déjà affronté les pires des ruptures. Celle qui ne connait de la vie que les livres a su effleurer le deuil et la douleur dû à une bagarre un peu rude. Elle ignore d'où lui vient cette malédiction qui lui fait perdre l'esprit lorsque la foule gronde et que des événements viennent la frapper de leur importance, mais elle tuerait pour la voir disparaître. Ce trop-plein la pousse bien souvent à oublier qu'elle aussi est un être humaine, une jeune femme de dix-huit ans et non pas une machine à faire semblant. Elle se perd à travers ce qui est à elle et ce qui est aux autres. Cachée derrière son ambition et ses prétentions, Alyda cache pourtant un désir de découvrir la vie, tout en ignorant si elle est capable de mettre de côté sa volonté pour enfin affronter l'idée qu'elle peut être autre chose qu'une tête pensante et un avenir bien dessiné.
Et c'est sûrement ce qu'elle trouve quand elle est contactée par l'Aube Noire. Pour eux, elle brise des sortilèges, des malédictions qui peuvent être brisées et si elle est toujours considérée comme un cerveau sans âme, elle a au moins l'impression d'être vivante.

Liens

— Ambiguité avec Bakay Ndgwo ; Arriver à Poudlard sans savoir réellement parler anglais peut se révéler être compliqué, ce fut ce qui poussa le professeur Dippet à demander à une de ses meilleures élèves de donner des cours particuliers à Bakay. Dès le début, entre Alyda et le garçon, il y eu quelques difficultés pour s'exprimer. Le temps est passé et le glaçon a commencé à fondre. Pour autant, aucun des deux n'est capable de parler de sentiments, préférant prétendre qu'entre eux, il n'existe qu'une amitié indestructible.


— Connaissance de Geneva Comstock ; Alyda et Geneva ne sont pas amies. Sans mentir, il n'y a entre elles que peu de déclarations amicales et de rigolades. Cela ne les empêche pas de s'apprécier et de rechercher la culture de l'autre. Elles retrouvent, à travers leurs discussions, une soif de connaissance et elles se plaisent à échanger lorsqu'elles en ont l'occasion. Alyda est la seule au courant du pouvoir qui s'échappe des peintures de Geneva et petit à petit, leur relation se renforce, bien qu'elles prétendent le contraire.


— Ne supporte pas Joan Baddock ; Joan a voulu faire couler celle qui n'exprime rien, l'écraser, en faire son pantin. Pourtant, Alyda n'a pas cédé et depuis, Joan voit en elle une concurrente à détruire. Jalousie, envie, ou autre, Joan ressent pour elle une haine qui n'a que peut de limites, quand Alyda, elle, agit comme si la Baddock n'existait pas.

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